Comment se forme-t-on dans un environnement numérique en constante transformation ?
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Comment se forme-t-on dans un environnement numérique en constante transformation ?
CHAPITRE 2
Jusqu’alors, l’emploi était un pilier fort de la société issue de l’essor industriel. La qualité de l’emploi était fortement liée à la formation initiale et la carrière se déroulait dans un même métier et une même entreprise. Ainsi, les individus consacraient une période de leur vie toujours plus longue à la formation initiale. L’obsolescence de plus en plus rapide des compétences, la transformation continue des métiers et des carrières ont transformé ce schéma séquentiel en un modèle de renouvellement continu des savoirs. Cécile Dejoux, professeur des universités au CNAM, nous a fait part de sa réflexion sur l’adaptation à l’emploi par la formation continue. Elle souligne que le numérique permet d’apprendre différemment - e-learning, MOOCS, … - mais que la technologie, si elle offre un support d’apprentissage d’accès plus libre, demande un encadrement pour être efficace. Les outils offrent ainsi un nouveau cadre d’apprentissage par l’image ou le partage qui appelle un nouveau public, parfois exclus de « l’apprentissage papier ». Ce mode d’apprentissage comporte aussi des pièges comme confondre « être informé » et « savoir faire ». Etre capable de mettre en pratique, de régler des problèmes demande d’acquérir une maitrise que ne garantit pas l’apprentissage par mimétisme. Le mode libre-service d’information demande donc un encadrement pour devenir un mode de formation. C. D. souligne que si, avant, les entreprises étaient garantes de la formation, c’est aujourd’hui le réseau de collaborateurs qui oriente celle-ci. Enfin, le numérique donne une ampleur nouvelle à des des caractéristiques traditionnelles de l’apprendre : apprendre en dehors de son champ développe la créativité et apprendre par hasard permet d’élargir son périmètre d’influenceur, comme les agriculteurs d’Inde (Digital Green).
LA FORMATION À L'ÉPREUVE DU NUMÉRIQUE...
DISRUPTION
L'OBSOLESCENCE DE PLUS EN PLUS RAPIDE DES COMPÉTENCES, DISRUPTION DES COMPÉTENCES, MÉTIERS ET FORMATION
ACCÈS POUR TOUS
EMPLOYABILITÉ ET FRACTURE SOCIALE
FAIRE DU NUMÉRIQUE UNE CHANCE
L'IMPACT DU NUMÉRIQUE SUR LES SECTEURS TRADITIONNELS
SOMMAIRE
INTRO
LE SPECTRE DE L'INCERTITUDE
Avec François Levin et Judith Herzog (Conseil National du Numérique) nous avons pu saisir que la transformation numérique amène à repenser l'enseignement supérieur et la recherche, une explosion du cadre de pensée conventionnel (Emploi, disruption, crainte) et le spectre de l'incertitude.
Sur un autre point de vue, nous sommes embarqués vers une forme d'imaginaire (Silicon Valley), nous forçant à être en réaction par rapport à cet imaginaire. C’est également le démarrage de l’ère de la primauté du "Test & learn" au détriment de l'excellence (Culture Française) et des nouvelles écoles de l'innovation.
COMMENT FORMER ? L'EXEMPLE DE L'IRLANDE
Quels défis pour l'Irlande ? L’enjeu pour l’Irlande en termes de formation pourrait se résumer à cette capacité d’accompagner le développement de l’e-économie en redonnant de l’espoir à sa jeunesse (Formation, emploi, infrastructures, …). Cela demandera de multiplier l’accés à des espaces de travail où règnent interconnexion, flexibilité, collaboration, réseaux orientés travail, co-working....
Cela pose également la question du système éducatif avec quel apprentissage pour demain (Du collège au doctorat), et la question du développement naturel du self management des compétences: agilité, résilience, IS/IT, résolution des problèmes, prise de décision, ...) boosté par les attributs de la nouvelle économie qui font de la gratuité et de l’immédiateté les piliers de la société moderne et ouvre réellement la possibilité d’apprendre tout au long de sa vie professionnelle
L'EXEMPLE DE CARREFOUR
Au travers de l’intervention de Carrefour et d’un représentant du personnel, la transformation semble à la fois passer par les fourches caudines des financiers avec quelques e- acquisitions, le dialogue social autour de la culture digitale, l’invitation à l’investissement personnel sur des e-équipements et un énorme volet de formation. Ce volet de formation intègre aussi bien les employés que les instances représentatives du personnel (Négociation dans une culture numérique).
Le numérique est avant tout un enjeu humain, c’est pourquoi il est important de favoriser l'appropriation des outils digitaux, d’informer, de sensibiliser, de former à l’utilisation à l’aide de moyens divers et variés : passeport digital pour tous les collaborateurs, videos, plateforme digitale, vitrine de l'évolution, séminaires digitaux, complétés par des séminaires et actions autour de l'"adaptation à la clientèle".
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L'OBSOLESCENCE DE PLUS EN PLUS RAPIDE DES COMPÉTENCES, DISRUPTION DES COMPÉTENCES, MÉTIERS ET FORMATION
De plus en plus les plateformes ou Apps demandent à l’utilisateur d’endosser le rôle de contributeur. Il semble peu concevable qu’un service soit rendu au plus haut niveau d’exigence sans l’implication de contributeurs à forte valeur ajoutée. Cette contribution peut prendre différentes formes et les exemples rencontrés tout au long de notre session sont nombreux et illustrent bien ce propos.
La contribution est un élément clé de la réussite de n’importe quel service ou solution numérique et demande à s’y intéresser fortement car sinon demain nous risquons de devoir faire face à une pénurie de contributeurs, ou une surenchère à la contribution, au bon niveau d’exigence et pouvant produire de la valeur. Intéresser les contributeurs peut très bien passer par le rêve d’une économie solidaire et RSE, la puissance d’un réseau peer-to-peer, l’impact d’une inclusion sociale, l’apport d’un développement personnel, l’opportunité de négociation, la pertinence d’un feed-back… Mais quel que soit le service numérique rendu, il ne pourra pas faire l’économie du développement de ces contributeurs, même si ces contributeurs sont les utilisateurs. En dépendent, le développement de ce service et son business plan.
L’essor du numérique cache ou révèle aussi un certain nombre de nouvelles pratiques qui alimentent souvent une forme de « course » aux néologismes mais dont les conséquences en termes de formation ne sont pas neutres. Si par exemple, nous retenons les termes comme :
Il se cache derrière chacun d’entre eux de la connaissance, du savoir-faire, de l’expérience, souvent de la méthodologie et donc de l’apprentissage que ce soit en termes conceptuels ou pratiques. Le « burnout digital » fait également son apparition et demandera à certains spécialistes de devoir s’adapter en conséquence. Enfin, cela ouvre un champ de négociation sociale gigantesque pour le futur.
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Aujourd’hui, si nous prenons le marché des « Apps », ce sont plus de 6 Millions de propositions qui nous sont offertes depuis notre smartphone. Nous pourrions également retenir la dynamique mondiale engagée autour du développement des start-ups comme l’Inde avec ces 60.000 start-ups et les efforts consentis pour former les créateurs et les accompagnateurs. Il conviendrait également de compter tous les services en ligne déjà « obligatoires » (E-Gouvernement) ou presque (La Sécurité Sociale, les Banques, la Formation) et bientôt la Santé. C’est un océan de possibles dans lequel savoir s’orienter est déjà une compétence en soi, voire un facteur d’inclusion ou d’exclusion sociale.
Dans le contexte actuel, il est facile de s’imaginer que l’accès à la technologie n’est pas crucial et que l’idée prime sur la technologie. Dans les faits, il faut distinguer deux problématiques liées à cela :
Dans les deux cas de figure, il est primordial de former des nouveaux talents pour accompagner ces développements.
L’accès à la technologie passe également par des investissements colossaux (ex : Amazon, Google, Ali Baba autour de l’AI). En reprenant l’exemple des Apps, nous pouvons dire avec certitude que bientôt 50% des développeurs de logiciel consacreront 100 % de leur temps au développement d’Apps. Il est à noter que les médias ne se sont pas fait l’écho de cette transformation du métier durant ces dernières années et pourtant cette transformation s’est opérée et plus de 13 Millions de développeurs ont été formés ou se sont auto-formés.
L’accès à la technologie se matérialise par celui de technologies numériques, l’Intelligence Artificielle (AI), la Cybersécurité, l’Internet des Objets (IoT), le Big Data, le Cloud, l’Algorithmie. Elle demande également une évolution des compétences dans les domaines de l‘innovation, de la proposition de valeur, de l’agilité en développement souvent associée aux pratiques de Test & Learn et de Sprint, de la maîtrise des workflows numériques ou d’architectures de plateformes et de sites internet, de l’expérience utilisateurs. Tout ceci devant souvent déboucher sur de la reconnaissance de compétences pouvant prendre la forme d’une certification.
Ceci nous amène tout naturellement à une « guerre des talents » effrénée. Le système éducatif est également amené à évoluer très rapidement avec l’obligation de bousculer ses codes d’élaboration de cursus, sous la pression d’une synchronisation irrémédiable entre la mise à disposition de nouveaux profils non existants et les besoins accélérés et massifs du marché. Cette urgence nous conduit à vivre une situation paradoxale avec d’un côté une forme de dégradation et de dévalorisation de certains parcours éducatifs et de l’autre une montée en puissance de l’apprentissage au poste de travail permettant de capter à la « source » les futurs talents. Une illustration forte du développement du modèle 70/20/10 (on apprend pour 10% par la formation classique, pour 20% par l'échange avec des pairs, pour 70% par la pratique) renouveau ou nouveau symbole de la formation en général.
Daniel Ratier (Grande école du numérique) et Emmanuel Raviart (Direction interministérielle - DINSIC, SGMAP) nous ont montré que la Grande école du numérique peut apporter une réponse aux besoins en compétences numériques : Marchands / Non Marchants, favoriser l'insertion sociale et professionnelle, accompagner le besoin croissant en compétences. Cette école veut répondre à des enjeux sociétaux comme la Gratuité, la mixité, les publics fragilisés, l’accès au numérique sur le territoire, l’approche peers to peers sans professeurs. Des dispositifs équivalents ont vu également le jour : Pop School, Street School, Made in Montreuil (FabLab), Web Accademy, Ecole 42 en Inde, Expert en Cyber Sécurité...
Doniya Soni (Tech UK, Policy Manager - Skills, Talents & Diversity), à travers son intervention "The outlook for Women in Tech in the UK" nous a notamment permis d'appréhender l'accès des femmes au secteur numérique en Grande-Bretagne. Un sujet crucial au Royaume-Uni. Les statistiques sont éloquentes car aujourd’hui elles occupent ou représentent 17 % des Tech Jobs, 20 % de l'Entrepreunariat, 4% dans le Software et…. 0.1% du Top Management. Un gros travail est entrepris pour comprendre et améliorer cette situation avec quelques freins rencontrés comme l’absence de référents "femmes", l’attractivité des filières STEM, les abandons fréquents de cursus en technologie (deux fois plus que les hommes).
De nombreuses initiatives sont en cours comme l’engagement de femmes dans l'action (500 référentes écoles), événements, réseaux, possibilité de retour en arrière (Path back) dans le secteur technique avec la mise en place de programmes de retours coachés pour les femmes. Mais également la charte "Tech Talents" pour développer la diversité en STEM et ainsi pouvoir être plus représentatif de la population UK.
EMPLOYABILITÉ ET FRACTURE SOCIALE
Du point de vue de l’évolution de la formation, nous semblons noter deux grandes tendances :
D’un côté le développement massif de compétences liées à l’apparition de plus en plus rapide de nouveaux supports favorisant l’accès aux services proposés en ligne avec ce besoin universel d’acquérir de nouveaux réflexes. C’est l’exemple de Carrefour ou de mobiwik qui doivent amener l’ensemble de ses salariés pour l’un et des centaines de millions d’utilisateurs pour l’autre à acquérir les compétences indispensables pour « survivre », si nous voulons utiliser un mot fort, dans ce nouveau monde du numérique. Mais c’est également ce que vit quotidiennement une cellule familiale qui essaie de suivre le courant du numérique ou à défaut le rattraper.
D’un autre côté l’expérience utilisateur (Ux) prend une place prépondérante dans le développement des services car elle amène directement le regard du consommateur au plus bas niveau de la conception et oblige les constructeurs de services ou d’équipements à former l’ensemble des équipes de développement pour éviter la catastrophe économique. C’est le cas de Technicolor ou de Thales qui s’obligent à développer ses « artistes » qui créent de la valeur pour l’un et, pour l’autre, à installer la culture Ux amenant le client au cœur de ses équipes de développement.
Dans tous les cas de figure, l’investissement en formation est lourd et doit souvent accompagner un changement culturel conséquent pour développer et intégrer les profils de nouvelles générations formatés entre la culture de l’Excellence technologique portée par les écoles d’Ingénieurs et la culture du service portée par les Business Schools.
Prenons les exemples de Philips qui sans accès à cette technologie numérique ne pourra pas atteindre son objectif - « Soigner 2 Milliards de personnes en 2025 » - ou Technicolor qui ne pourra pas proposer des versions de films d’animation nouvelles générations ce qui peut avoir une répercussion immédiate sur les titres en bourse de ces entreprises (cf actualité du moment pour Technicolor).
Le numérique semble abolir les frontières entre les entreprises à vocation purement technologique et les sociétés à vocation purement servicielle (ex : Banques, assurances). Tous recherchent les mêmes talents - et le développement de nouveaux talents demande du temps entre la formation d’experts de haut niveau et la sensibilisation massive d’ingénieurs ou de techniciens.
Enfin, la dynamique autour du développement des start-ups dont la plupart dépendent du numérique (Solutions ou médias) amène son lot de formation, car sans talents disponibles pas de start-ups performantes. Ce qui fait certainement de cet accès à la technologie un des éléments clés du futur et qui imposera certainement son propre rythme pour le développement du numérique en général.
Didier Pignon (Directeur Anticipation et Evolution des Métiers & Compétences chez Thalès) nous a éclairé sur la transformation d’un groupe de haute technologie dont les activités sont centrées sur des solutions à base d’électronique, de sécurité, d’informatique. Elle prend également deux visages :
Au sein d'une organisation technique multi-culturelle avec ses milliers d'ingénieurs, ce sont des milliers d'idées, de nouvelles opportunités chaque jour, différentes générations qui cohabitent et s'entraident. Un capital humain clé pour relever les défis de demain. Dans ce cadre, la dimension digitale de la formation amène un océan infini de nouvelles modalités pédagogiques, une fluidité du partage international associée à un décloisonnement, une profondeur multiculturelle facilitant diversité et inclusion.
L'IMPACT DU NUMÉRIQUE SUR LES SECTEURS TRADITIONNELS
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« La réussite de la transformation doit pouvoir se nourrir de messages positifs, optimistes et progressistes… ce sera plus facile pour tout le monde… »
Armin Schild (Syndicaliste IG Metall et Réseau Futur de l'Industrie - Berlin
DANS TOUS LES CAS DE FIGURE SE POSENT LES QUESTIONS AUTOUR DE LA FORMATION POUR LESQUELLES LE NUMÉRIQUE EST À LA FOIS À L'ORIGINE DE CE QUESTIONNEMENT MAIS AUSSI UNE FORME DE SOLUTION :
• SUR QUOI FORMER ?
• QUI FORMER?
• QUI POUR FORMER ?
• COMMENT FORMER ?
L'ACCÈS DES FEMMES AU SECTEUR DU NUMÉRIQUE EN GRANDE-BRETAGNE EST UN SUJET CRUCIAL. LES STATISTIQUES SONT ÉLOQUENTES CAR AUJOURD'HUI ELLES OCCUPENT OU REPRÉSENTENT 17 % DES TECH JOBS, 20Ù DE L'ENTREPRENEURIAT, 4% DANS LE SOFTWARE ET 0,1% DU TOP MANAGEMENT
L'ACCÈS À LA TECHNOLOGIE PASSE ÉGALEMENT PAR DES INVESTISSEMENTS COLOSSAUX. EN REPRENANT L'EXEMPLE DES APPS, NOUS POUVONS DIRE AVEC CERTITUDE QUE BIENTÔT 50% DES DÉVELOPPEURS DE LOGICIEL CONSACRERONT 100% DE LEUR TEMPS AU DÉVELOPPEMENT D'APPS
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François Levin et François Herzog du Conseil National du Numérique lors de leur intervention à l'INTEFP
RESSOURCES
• « Numérique, travail et emploi : une cartographie des controverses », François Levin et Judith Herzog
• « La grande école du numérique », Daniel Ratier
• « The Outlook for Women in Tech in the UK », Doniya Soni
• «Thales, un groupe international leader dans les domaines des hautes technologies», Didier Pignon
• « Frugal innovation : healthcare @ Philipps », Ajit Ashok Shenvi
À PROPOS
CRÉDITS
MENTIONS LÉGALES
« Nous avons découvert que la technologie est le facteur principal de la baisse relative du revenu des travailleurs peu ou moyennement qualifiés ces dernières années »
Christine Lagarde, présidente du FMI
C'EST LA CAPACITÉ DE NOS POLITIQUES À METTRE EN OEUVRE À L'ÉCHELLE MONDIALE UN SYSTÈME DE RÉGULATION CRÉATEUR DE CONFIANCE ET REDISTRIBUTEUR DE RICHESSES QUI DONNERA LA RÉPONSE D'UN NUMÉRIQUE CRÉATEUR DE LIEN SOCIAL
71%
la perte des revenus de la presse française au profit des GAFAM
70%
des chercheurs universitaires en Grande-Bretagne sont en CDD de 1 à 3 ans
« Nous avons découvert que la technologie est le facteur principal de la baisse relative du revenu des travailleurs peu ou moyennement qualifiés ces dernières années »
Christine Lagarde, présidente du FMI
« Cette politique de la donnée doit s’articuler avec un objectif de souveraineté : la France et l’Europe doivent conserver une position ferme s’agissant du transfert de données hors de l’Union européenne »
Extrait du Rapport Villani
JUMIA. E-commerce, livraison repas, booking. Fondé au Nigeria en 2012. Présent dans 14 pays : l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, le Kenya, l'Égypte, l'Ouganda, le Cameroun, le Sénégal, le Ghana, le Rwanda, l'Afrique du Sud, la Tanzanie et la Côte d'Ivoire. Il est détenu à 20% par le groupe ayant lancé Zalando en Allemagne. Chiffre d'affaires en 2017 : 502 millions d'euros.
ACCUEIL
CONTROVERSE 1
EXISTE-T-IL DES MODÈLES ÉCONOMIQUES NON PRÉDATEURS ?
CONTROVERSE 2
DU SOUTIER DU NUMÉRIQUE AU SLASHER : PENSER LE TRAVAIL DE DEMAIN
Chapitre 1
Tous indépendants, tous prolétaires 4.0... ou sans emploi
Chapitre 2
De l'entreprise libérée au néo-taylorisme
Chapitre 3
Le collectif de travail, une valeur dépassée ou réaffirmée ?
Chapitre 4
Un dialogue social renouvelé ?
Chapitre 1
Face aux GAFAM et BATX, une régulation est-elle possible ?
Chapitre 2
Un modèle économique communautaire est-il possible dans le numérique ?
Chapitre 3
La data, nouvel eldorado ou parfait big brother ?
Chapitre 4
Capital Humain vs capital technologique
CONTROVERSE 3
LA FORMATION À L'ÉPREUVE DU NUMÉRIQUE : LE CHANGEMENT DES PARADIGMES
Chapitre 1
La formation au coeur du changement culturel
Chapitre 2
Comment se forme-t-on dans un environnement numérique en constante transformation ?
Chapitre 3
Comment reconnaître, valoriser, certifier et qualifier ses acquis ?